25 mars 2012

LBV : la force de la 1ère cté

La monographie de la Communauté de Libreville commence avec la signature de l’accord entre les Filles de Marie Auxiliatrice et la SNI ( Société Nationale Immobiliaire). À l’ouverture de la misssion, il y avait soeur Teresita Villegas (la directrice), soeur Lucia Cargnoni et sr Gloria Medina.
À partir du 29 décembre 1988, date de la signature de l’accord, les soeurs transmettent l’histoire au jour le jour avec une vivacité et une foi impressionnante.
Ce qui touche de prime abord c’est la foi des soeurs dans la bonté de Dieu et des gens. Elles ont mis beaucoup de temps à rencontrer les gens: les autrres communauté religieuses, les paroisses et les gens du quartiers. Ensuite leur ouverture à l’Eglise locale, elles sont présentes à tous les évènements marquants de l’archidiocèse de Libeville.
Par ailleurs, nous admirons la sollicitude paternelle de Mgr André Fernand Anguilet alors archevêque de Libreville et du Père Fonferrier, curé de la paroisse. Comme un bon pasteur, Mgr accompagne les soeurs pour faire les courses et suis de très près l’avancement des travaux.
Les 1eres soeurs de la communauté de Libreville ont également un lien très fort avec les deux autres communautés du gabon: Port Gentil et Oyem. On peut suivre avec précison tous les passages des soeurs dans la communauté de Libreville.
La mission est au coeur de cette monographie. On perçoit le soucis de bien accueillir les enfants qui viendront au jardin d’enfants, accuillir les parents et les voisins. Dès le début les soeurs accuiellent les jeunes et font des petites sorties avec eux. La communauté a un grand amour à la mission
Ce qui frappe aussi c’est qu’à travers ce que les soeurs relatent dans la monograpie, la population attendait les soeurs et tout le quatier voire l’archidiocèse est heureuse de les accueillir.
Et pour finir, la monographie raconte tout jusqu’au moindre détail. C’est agréable de la lire.

Quelles réflexions nous offrent-elles, dans notre aujourd’hui si différent de leur temps ?

Cette lecture nous sert d’évaluation. Comment vivons-nous aujourrd’hui notre mission? Quelle place faisons aux destiantaire de notre mission? Quel est le sens communautaire de notre mission? Comment intégrons-nous les deux communautés du Gabon dans notre misssion?
En relisant ces pages de l’histoire de nos premières soeurs de Libreville, nous sentons l’appel à revenir aux premiers temps de la vie de la commuanté en soignant les aspects suivants:
1. l’amour à la commuanté
2. recupérer le sens commuantaire de la misssion
3. prendre le temps de voir ensemble avant de décider
4. maintenir la realtion avec l’église locale et les autres commuanté religieuse.

Nous remercions les soeurs Teresita Villegas, Lucia Cargnoni, Gloria Medina et la Provinciale de l’époque Sr Yvonne Réungoat, pour leur téloignage de foi, d’amour fraternel et eur engagement comme fille de Marie Auxiliatrice.

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